Damien Caccia
Jonathan Calvie
Adrien Degioanni
Antonin Gerson
Ines Haym-Domange
Pierre-Alain Poirier
Guilhem Roubichou
Lucie Vanesse
Sarah Wjuniski
Xarli Zurell
Finalement ?
Exposition sur RDV du 8 au 16 février
“TITANIX seeking thinking sinking
seeking
how to organize aesthetic spaces as an inhabited journey
how to look for collaborations as singular exploration gestures and common living ways we seek to collective environments as contemplation confort
we are looking for kind forms with raw moments, so we dig into histories waters, we sail to research links between belongings surfaces of perceptions
thinking
how to draw a map of critical sensibilities and symptomatic unknowns
as an experimentation of reality conditions of making
as thinking about common aesthetic situations to reveal singular problematics
sinking
poetry in the falling and success of a dynamic journey. Story of missing art piece, broken ceramics, expensive budget, being afloat part wet part dry, spreading healness for a becoming broken body and still have the head out of the cold waves”
TITANIX is a nomadic project led by artists Thiên Ngoc Ngô-Rioufol & Alice Hauret-Labarthe during 2018. It appeared in Athens, Lisbon, Paris, Bordeaux, Marseille, New-York, and now in Brussels for a first performative restitution.
details on instagram @titanix2018
Triplan n’est pas le produit d’un collectif, mais la rencontre entre trois artistes d’une même génération. C’est un ensemble de trois plans as- semblés comme un château de cartes où chacun vient soutenir l’autre. La proposition joue cette interdépendance et ne peut se maintenir sans les autres. Chacun des trois plans appartient à l’un des trois artistes. Ils sont à la fois un extrait respectif de leur recherche et une réponse à la proposition de leur confrère de manière à construire un ensemble indis- sociable. L’ensemble joue à la frontière entre la sculpture et une certaine idée de l’architecture.
On a réussi.
une année passée
et on déambulait formes bouffonnes et blanches et joyeusement tristes dans le jour déjà gris qui ici est le jour de la nuit.
On a réussi.
Quelques heures un exotisme de 3d, d’ennuyé et tout de même, on se croirait dans la descente descendant des fleuves serpents bleu nuit.
Pas de neige plus de nuit, pas de jour, de l’ennui et des bouts épars : des bouteilles brisées faisaient le ciel à nos pieds.
On glissait ou frottait nos pieds gris aux pavés gris, un déhanchement passif, avec en coin comme une pièce qui tourne à jamais, entre chien et loup, des odeurs délavées ou étouffées de tabac, de rêves, avec en coin dans le coin retourné du coude ramené à la bouche des envies d’ailleurs ?
L’ailleurs ah ça, ce serait chouette ! Un monde sans mot puisque qu’on n’articule plus trop t’façon et le romantisme (quand même) il est là au fond de nos poches, la main molle ou le poing serré.
Trouvons le mystère au fond du verre, ou à la surface lisse des coques d’iPhone.
On a réussi pfffou encore.
Pierre-Alain Poirier, 2019
Sous couvert de deux avatars créés pour l’occasion, 2 flics ami-ami : Panique à Borth est un récit qui constitue à la fois la trace et le décor de cette exposition, il relate l’évolution d’un travail et raconte un paysage en même temps qu’il se construit.
« À la recherche de l’Atlantide depuis de longues années, A., cryptogéographe acharné et
paranoïaque léger voit ses recherches arriver à une impasse : il doit chercher l’invisible. Le ressurgissement soudain d’une lettre adréssée à son collègue disparu bouscule ses habitudes. Il y
apprend que son collègue, B., aurait travaillé sur une légende analogue. Suivant les indications
de la lettre, A. Part à la poursuite de son confrère au Pays-de-Galles. En empruntant ses pas,
il se pourrait bien qu’il accède à son objectif initial : retrouver le légendaire royaume englouti… »
Antoine Carcano : https://antoinecarcano.hotglue.me/
Balthazar Blumberg : balthazarblumberg.com
Un matin, j’ai regardé par la fenêtre, et le lac avait disparu.
La terre était devenue rouge,
le ciel, bleu, le soleil, haut.
Je suis partie faire du vélo.
J’ai emprunté le même chemin en pente,
et j’ai roulé.
Je n’ai pas vu le trou,
les pierres,
le chien.
One morning, I looked out the window, and the lake was gone.
The earth had turned red,
the sky, blue, the sun, high.
I went cycling.
I took the same path on the slope,
and I drove.
I didn’t see the hole,
the stones,
the dog.
Vernissage à Grande Surface
“Il fait toujours plus sombre en bas” vendredi 9 novembre, de 18h à 22h.
Exposition du 10 au 19 novembre (sur rdv).
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Avec la participation de :
David Ancelin
Théophile Brient
Antoine Donzeaud
Pauline Lavogez
Commissaire d’exposition, Thomas Havet – Double séjour
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Rue Théodore Verhaegen, 188, 1060 St-Gilles.
grandesurface.collectif@gmail.com
Vernissage – jeudi 11 octobre de 18heures a 22heures au 188 rue tgeodore verhaegen, 1060 St-Gilles.
Grande surface vous acceuil pour “LE VERTIGE”
Commissaire d’exposirion : pauline bordnail
Avec: angelique aubrit, alexandre barré et thibault barré, juliette davis et stephanie viviers, nicholas goutket, mathias pmfude
“Ils tentent de se regarder dans la glace. Celle qui se recouvre de bue et que l’on t’ete d’eclaircir avec nos doigts. Ici, il n’est pas question de s’admirer mais selon lui, de menacer. Il se concentre et comence abord a ecrire une phrase. Ul la lit a haute voix mais se rend conte qie le resultat final est plus reconfortnt que terrifiant. Il la relie avec un thin moin avenent mais la conclusion ne change pas. La chance du debutant n’est pas de son cote,il doit persévère. Il sait qu’il doit continuer de snentrainer. Il de felicite neanmoins de se discretio’ tout en revenant sur son phras. Il faut qu’il devienne plus inquietant, que la personne ne prenne pas le tempad de s’habillet avant de snenfuit’r. Le probleme, cnest qu’il ne sait pas comment opperer. Il pense alors a ce qui lui fait peur et se demande si sa cranite peux etre universelle. Apres quelques minutes de reflexions, il se demande surrout si ol a envie de menaxer les gend. Ul aurait pu le faire pe’dant la guerre mais son visage tombanr lui confirzm que l’instabt est passe. Peureusement qu’il est seul dans la peice xar il commence a reellement perdee confiance. Il se demande ce qu’il fait, pourquoi ik est la ? Ay fur et mesur qu’il se decontenance, la phrase déposé sur le miroir s’efface. Elle etais lucise et ttendre elle lui ressemnlais. Il depose alors ses mains sur l’evier et se concentee, pour cette fois ci ne pas craquer. Ol se dit qunil doit retrouver ses esprits. Que ce nnest plus le moment de flancher. Il releve la tete mais le trouve plue son viqage. Il se frote les yeux pensant qu’il est en train d’haluciner mais toujours pas de reflets. Il compeebd alors quil n’a plus le choix, il va devoir s’allonger dans la boue une derniere fois. Revivre l’attente, la fin et lnattaque afin de construire une phrade digne du genre. Une de celle qie vous n’acze pas besoin de lure entireerrement pour comprendre que ce sont vos derniers instant, ine de celle qui vous fais revivrz vitre enfance, une de celles qui vous fait penser a votre mere une de celles don le bon dieux se moque .”
Sposition 12 octovre au 28 octobre sur rendez vous
Grande Surface invite Arthur Tiar, pour l’exposition “Des petits papiers”.
Vernissage : 28/06 de 18h à 22h
Ouverture les 29 & 30/06 de 17 à 20h
Une proposition de Samir Ramdani en collaboration avec Jagna Ciuchta et Thomas Stuck.
https://vimeo.com/user8570086
http://www.jagnaciuchta.com/
Vernissage : 21/06 de 18h à 22h
Ouverture les 22 & 23/06 de 17 à 20h